Rechercher dans ce blog

mercredi 15 août 2012

Le fusil à deux coups : extrait1

Il est difficile de de dire l'âge d'un faisant avec exactitude . Chez le coq, cela peut encore se faire : l'eperon court et rond chez les jeunes s'allonge et, chez les vieux devient une pointe; à quatre ans il a 2 cm et, au-dessus Beauru ne gardait aucun oiseau. Pour les poules, il arrivait à ne se tromper guère car il savait bien que les tarses sont jaunes et ont, chez les jeunes, deux écailles fines, alors qu'elles sont grises et rigueuses chez les vieilles, que le bec est brun chez les jeunes et gris, de plus en plus claires chez les anciennes .

lundi 13 août 2012

Palazzo Vecchio

Palazzo Vecchio

FlorenceHISTOIREphotohotel
florence - palazzo vecchio
Le Palazzo Vecchio se trouve sur la Piazza della Signoria, c'est l'hôtel de ville de Florence. Cette forteresse parallélépipédique est un des plus beaux bâtiments de la ville et une des meilleures synthèses de l'architecture du 14e. Il côtoie la galerie des Offices.
Il porta d'autres noms, comme Palazzo Ducale, jusqu'à ce que ses souverains, les Medicis, s'installent au Palais Pitti. Son premier nom était Palazzo della Signoria (Palais de la Seigneurie), car y siégeait la Signoria - le gouvernement de la commune.
Sa construction fut achevée en 1322, il abrite de nos jours la mairie de Florence, mais aussi un musée où l'on peut visiter les magnifiques salles dans lesquelles s'exprimèrent entre autres artistes d'exception, Agnolo Bronzino, Ghirlandaio, George Vasari, etc) et où sont exposées des oeuvres de Michelangelo Buonarroti, Donatello, Verrocchio, etc
Citons en particulier le Salone dei Cinquencento (Sale des Cinq cents) orné par leGénie victorieux de Michel-Ange et les fresques de Vasari.
Palazzo Vecchio - FlorenceL'édifice s'est graduellement agrandi vers l'est, en arrivant à occuper un îlot et en quadruplant ses dimensions. Sur la façade principale, la Tour d'Arnolfo est un des emblèmes de la ville.
La construction du palais débuta en 1299 sous la direction de l'architecte Arnolfo di Cambio – qui édifia aussi le duomo et l'église Santa Croce, dans une époque troublée où Florence voulu affirmer sa force et garantir sa sécurité.
Un premier achèvement remonte à 1314. L'édifice a été construit sur les ruines de deux anciens palais, et di Cambio intégra la tour de la famille Vacca et de celle de palazzo vecchio - écusBizzo dans la structure. C'est sans doute pour cela que la tour d'Arnolfo(du nom de son concepteur et haute de 94 m environ) n'est pas au milieu du bâtiment. Cette tour crénelée à la mode de Toscane servit de prison, Cosme Ier et Jérôme Savonarole y séjournèrent au 15e siècle.
L'horloge fut à l'origine construite par Donatello, mais remplacée au 17e.
Sur la place de la Piazza della Signoria , une réplique du David de Michel-Ange se trouve devant l'entrée du Palais, ainsi qu' Hercule et Cacus de Baccio Bandinelli.

Palazzo Vecchio - FlorencePalazzo Vecchio - FlorencePalazzo Vecchio - Florencepalazzo vecchiovieux palais à florencepalazzo vecchio - écus

Palazzo Vecchio - FlorencePalazzo Vecchio - Florence

Sur internet :

Voir aussi :

Sites touristiques à Florence

vendredi 10 août 2012

Christine de Suède

Elle nous a tué Descartes

Le col du Galibier : J'y étais

L'ascension à vélo du col du Galibierpar Philippe Baudoin
Le col du Galibier se situe à cheval entre les Hautes Alpes et la Savoie. Col mythique, extrêmement difficile à gravir, il offre en contrepartie une vue imprenable du haut de ses 2645 mètres d’altitude et une grande satisfaction de l’avoir escaladé. Henri Desgrange, fondateur du Tour, y enverra pour la première fois ses « forçats de la route » en 1911. Jacques Godet dira de ce col qu’ « il situe les vraies valeurs »… Le Galibier impressionne, le Galibier fait frémir les plus entraînés, mais les souvenirs de l’avoir gravi restent à jamais gravés dans la mémoire...
«Oh, Sappey ! Oh, Laffrey ! Oh, col Bayard ! Oh, Tourmalet ! Je ne faillirai pas à mon devoir en proclamant qu'à côté du Galibier, vous êtes de la pâle et vulgaire bibine: devant ce géant, il n'y a plus qu'à tirer son bonnet et à saluer bien bas.»
(Henri Desgrange, acte d’adoration, 1911)

 

Première ascension au Tour 1911

Le col du Galibier est avec le Tourmalet le col le plus célèbre et le plus escaladé du Tour de France. Sa première ascension remonte à 1911 dans une étape de 366 kilomètres reliant Chamonix à Grenoble. Emile Georget, Paul Duboc et Gustave Garrigou passeront en tête le col. Ils seront seuls à ne jamais mettre pied à terre dans la montée. Emile Georget avoue cette année là « n’avoir jamais rien vu de plus dur ». Un monument dédié à Henri Desgrange est construit en 1949 sur le versant Sud peu avant l’entrée du tunnel.
 
 

Un peu d’histoire géographie

Le col du Galibier est situé entre le massif d’Arvan-Villards et le massif des Cerces. Il relie la vallée de la Maurienne en Savoie (St Michel de Maurienne) à celle de la Guisane (Briançon) dans les Hautes Alpes. Une piste muletière le traversait autrefois, empruntée par l’armée, les bergers transhumants, les voyageurs, les contrebandiers.
Une route carrossable est ouverte en 1879. L’itinéraire est connu sous le nom de « Route de grande communication n° 14 ».
Sur le versant Sud, la route montant de la vallée de la Guisane est fermée et abandonnée en 1947 pour être remplacée par la route actuelle qui démarre du col du Lautaret. Son tracé est encore visible aujourd’hui. Elle démarrait à 2 kilomètres du col du Lautaret, juste après le dernier tunnel aujourd’hui condamné. Sa pente était nettement plus forte que la route actuelle (9.76% contre 7.11% pour le tracé actuel).
 
 

Tunnel du Galibier

Les derniers lacets de la route construite en 1879 sont très étroits et les hauteurs de neige rendent l’accès au col difficile. En 1886, l’armée perce alors un tunnel juste avant le sommet, à 2556 mètres d’altitude. Il sera utilisé pendant 90 ans. Le tunnel est emprunté par les cyclistes du tour de France, économisant les efforts du dernier kilomètre très difficile rejoignant le sommet.
« Le tunnel aurait dû être ouvert beaucoup plus bas. Celà nous aurait évité un martyre ! » 
(Emile Georget,10 juillet 1911)
En 1976, le tunnel est fermé du fait de risques d’effondrement. La route menant au sommet est alors élargie et permet le franchissement du tunnel aux seules voitures. Le tunnel sera réouvert au printemps 2002.
Le tunnel actuel mesure 370 mètres de long sur 4 de large. La circulation dans le tunnel se fait de manière alternée. Les cyclistes ne peuvent pas l’emprunter.
 
 

Déneigement du col

Le col du Galibier est ouvert chaque année à partir du 1er juin après 20 jours d’un travail fastidieux de déneigement. Il reste ouvert jusque septembre. La route du sommet reste généralement fermée à la circulation en juin du fait des risques importants d’effondrement des murs de neige. Voir l'état actuel du col.
 
 

Ascension du col du Galibier à vélo

L’ascension du col du Galibier est très difficile depuis Valloire, surtout si elle est enchaînée après celle du col du Télégraphe. Elle est beaucoup plus abordable depuis Briançon ou depuis le col du Lautaret. Le décor est tout simplement splendide des deux côtés et le sommet offre une vue imprenable sur les montagnes environnantes avec notamment les glaciers de la Meije et des Ecrins.
L’ascension depuis Valloire
L’ascension par le versant de la Maurienne se fait par une route longue de 33 kilomètres. Elle passe par le col du Télégraphe (1566 m), descend à pente douce sur le village de Valloire et remonte sans répit jusqu’au sommet. A partir du plan Lachat, à quelques kilomètres de Valloire, elle monte abruptement dans un décor de haute montagne. 18 kilomètres séparent Valloire du col. La pente moyenne depuis Valloire est de 7.2 % avec un maximum de 11.8 % juste après le tunnel.
 
L’ascension depuis le col du Lautaret
L’ascension par le versant sud se fait en pente plus douce. Au départ du col du Lautaret (2058 m), on enchaîne 8.6 kilomètres à 6.8 % de pente moyenne. La route offre une vue imprenable sur les hauts sommets et leurs glaciers. Une ascension à portée de tous les habitués de montagne.

 

dimanche 5 août 2012

Les forts de l'Esseillon


Hier Sardes... aujourd'hui Français
 Construits au début du XIXème siècle par le royaume de Piémont-Sardaigne pour se défendre des invasions françaises,
les forts de l'Esseillon sont classés "Monuments historiques". L'édification des forts commencée en 1820 sous le règne de
Charles-Félix, grâce à l'indemnité de guerre perçue en 1815, fut achevée en 1833.

Ces forts appliquent les théories du Marquis de Montalembert : ce dispositif unique en France, dont les conceptions s'opposent à
celles de Vauban, repose sur un principe de fortifications perpendiculaires et de tours à canons. La constitution du système de 
défense en cinq ouvrages se protégeant réciproquement par des tirs croisés, est également une de ses particularités.

L'ensemble comprend 5 forts portant les prénoms de la famille royale de Piémont-Sardaigne qui régna sur la Savoie de 1811 à 1860.
 
 
Les forts de l'Esseillon à Aussois - Savoie
 FORT  MARIE-CHRISTINE

Entièrement restauré, ce fort à la cour hexagonale, porte le prénom de l'épouse de Charles-Félix.
C'est aujourd'hui un gîte d'étape, centre de vacances, refuge-porte du Parc National de la Vanoise et restaurant.
Il se visite (pour la partie qui ne relève pas du gîte d'étape) toute l'année et est accessible en voiture. Il accueille également ponctuellement expositions et animations.

FORT CHARLES-ALBERT


Charles-Albert fut roi de Sardaigne de 1831 à 1849. Il abdiqua en faveur de son fils : Victor-Emmanuel II.
Construction commencée en 1831, il ne reste de cet édifice que deux petits bâtiments de garnisons et la base d'une tour. Un long fossé, doublé d'une levée de terre en zig-zag, le reliait au fort Marie-Christine pour prévenir des attaques venues par le village d'Aussois. 

C'est un édifice qui ne se visite pas. Il est, par contre, le point de départ du "Sentier des Bâtisseurs".

   FORT CHARLES-FELIX

Né à Turin en 1765, il fut roi de Sardaigne de 1821 à 1831. Il est le frère et le successeur de Victor-Emmanuel Ier. 
Le fort est mis en service en 1827, il a la forme d'une étoile et est beaucoup plus petit (garnison de 150 hommes), mais possède des murailles énormes. 
Localement appelé "le fort démoli", Charles-Félix a été détruit sur ordre de Napoléon III, à l'heure du rattachement de la Savoie à la France en 1860.
La fréquentation de l'édifice est déconseillée et dangereuse car ni rénovation, ni travaux n'ont encore été réalisés sur ce fort. Romantique, le fort reste cependant admirable depuis la route.



   FORT VICTOR-EMMANUEL 1ER

Né à Turin en 1759, il fut roi de Sardaigne de 1802 à 1821. Fort "principal" de l'ensemble, il a été conçu pour accueillir une garnison de 1500 hommes. Organisé comme un véritable lieu de vie, il hébergeait notamment une chapelle, un hôpital et un pénitencier.
Grand site du département et site d'intérêt régional, cet édifice fait l'objet d'un important programme de restauration. Le recouvrement des toitures en lauzes lui a permis de retrouver son allure d'autrefois.
Depuis l'été 2010, une "Promenade Savoyarde de Découverte" vous emmène en 1841 sur les traces d'un soldat en garnison au fort, appelé alors le "fort du Point du Jour"...
Ce fort est le seul qui soit toujours ouvert à la visite quelque soit le jour ou l'heure.

   REDOUTE MARIE-THERESE

Marie-Thérèse était l'épouse de Victor-Emmanuel Ier. Ce fort, en forme de fer à cheval, avait pour mission d'interdire le passage sur la route royale du Mont-Cenis. Achevée en 1825, bloquant la route vers l'Italie, elle contenait une vingtaine de casemates à canons, derrière un fossé fortement défendu. Isolée, elle n'était reliée à l'ensemble de l'Esseillon que par un câble suspendu au-dessus du ravin par lequel transitaient les marchandises.
Plus tard, les hommes emprunteront la passerelle  du Pont du Diable pour franchir l'Arc.
Entièrement restauré depuis Juillet 2007, le fort abrite le "Centre d'interprétation du Patrimoine Fortifié", des expositions, organise des visites apéritives ou nocturnes, des évènements culturels...

Les animations autour de l'Esseillon cet été 2012 : cliquez ici

Du haut de ses 100 mètres, la passerelle du Pont du Diable offre une vue imprenable sur les gorges de l'Arc. 

Cette liaison est également un des points de départ de la Via Ferrata du Diable. Vous pouvez également prendre de la hauteur en vous lançant sur lestyroliennes géantes du Paradis et du Diable.
 
   LE CIMETIERE SARDE

Le cimetière est situé à l'amont du fort Charles-Félix. Là étaient enterrés les soldats des différentes garnisons.

Un peu d'histoire en plus

Ces forts, comme beaucoup d'ouvrages fortifiés, n'ont eu à soutenir aucun siège et n'ont eu sans doute qu'un faible rôle dissuasif. Le plus grand bâtiment pouvait abriter beaucoup d'hommes mais le climat rude rendait le service en cet endroit très pénible, aussi, les Sardes n'y ont-ils établi que des régiments disciplinaires pendant 31 ans.
En 1860, lorsque la Savoie est redevenue française, Cavour, alors ministre de Victor-Emmanuel II, a voulu conserver la Haute-Maurienne jusqu'au site de l'Esseillon compris. Napoléon III a refusé et demandé le respect de l'ancienne frontière Savoie-Piémont, comprenant le plateau du Mont-Cenis. Finalement, la frontière a été fixée à la ligne de partage des eaux et au col du Mont-Cenis. Pour rassurer les italiens, la France s'engagea à faire démolir ces forts et on a commencé par bombarder le fort Charles-Félix. Mais après le départ des compagnies piémontaises, les travaux de destruction ont cessés. L'armée du Second Empire a envisagé, sans rien effectuer, de reconvertir les forts mais la construction du tunnel ferroviaire du Fréjus, en 1871, a court-circuité le trafic transalpin.
D'autre part, la stratégie française a abandonné, pour cinquante ans, la fortification des frontières pour lui préférer un système de forts, étagés en basse et moyenne vallée, tenant compte des armements nouveaux à longue portée et à obus explosibles. Aussi, plutôt que d'aménager l'Esseillon, on a préféré le site de Modane (forts du Replaton et du Sapey construits entre 1885 et 1893), bien plus au coeur des passages importants.
De 1870 à nos jours, se sont succédés dans les forts encore en bon état (surtout Victor-Emmanuel), des éléments de réseve, des résistants prisonniers allemands et des détenus politiques. Après la libération de 1944, les forts ont été désaffectés et se sont dégradés petit à petit.
Heureusement en 1970, se constitue une association "Les Amis des forts de l'Esseillon", affiliée à l'associaiton R.E.M.P.A.R.T. qui s'occupe des chantiers de restauration, qui commence la rénovation du fort Marie-Christine, puis des autres encore aujourd'hui.
(en savoir plus sur les chantiers des restauration des forts : Thierry KUTA - tél : 06 33 91 17 25)
 

Fort de Ronce - Mont Cenis


Lanslebourg-Mont-Cenis

FORT DE RONCE AU LAC DU MONT-CENIS

     ©
    A la fin du XIXème siècle, le jeune Italie veut s'assurer le contrôle du Mont-Cenis, axe transalpin millénaire. C'est dans un contexte de tensions diplomatiques avec la France que l'Italie fortifie le Mont Cenis en l'équipant de plusieurs forts. Le fort de Ronce, qui domine l'ensemble du col, est construit de 1877 à 1880 sur un plan circulaire à deux étages de feu adapté aux nouvelles possibilités de l'artillerie rayée.

    Bon plans

    A partir du fort, il est possible d'emprunter le sentier orienté plein Est qui vous mènera au Lac clair, ou alors vous pouvez également rejoindre le sentier qui s'élève en direction Nord-est vers le Plan des Cavales, afin d'avoir une vue du fort de Ronce légèrement en surplomb.

    Voir aussi

    mercredi 1 août 2012

    Photovoltaïque plastique


    photovoltaique-plastique.com : les cellules solaires en polymère

    Les technologies photovoltaïques évoluent. Aujourd'hui encore, les panneaux solaires en silicium cristallin représentent 90% du marché photovoltaïque.
    Les cellules solaires de deuxième génération représentant les 10% du marché restant sont produites en Silicium Amorphe, Tellurure de Cadmium, ou CIGS(Copper Indium Gallium Selenide). Moins chères à produire, elles permettent en plus de créer des panneaux photovoltaïques flexibles et même semi-transparents.
    Le rendement de 12% des cellules solaires CIGS est inférieur au rendement énergétique des cellules solaires en silicium cristallin (15 à 22%), mais les capacités de flexibilité et le faible coût de production de ces cellules permet aujourd'hui aux panneaux photovoltaïques de seconde génération de prendre plus de parts de marché.
    Mais les technologies avancent vite et déjà, les cellules photovoltaïques de troisième génération pointent le bout de leur nez : des cellules solaires en polymère, c'est à dire du photovoltaïque en plastique !
    En effet, les cellules photovoltaïques en polymère sont composées de macromolécules organiques dérivées de la pétrochimie. Ces cellules solaires sont souvent recouvertes par un film protecteur en polyéthylène naphtalate (PEN) qui est un polyester saturé chimiquement comparable aux PET mais plus résistant aux températures. L'ensemble forme un film photovoltaïque plastique flexible qui peut même être transparent
    Certes, ce n'est pas une technologie nouvelle, car la première cellule solaire en polymère a été créée en 1986 par des chercheurs de l'entreprise Kodak. Mais les avancées scientifiques dans les domaines des polymères et des nanotechnologies ont permis une amélioration sensible des performances des cellules photovoltaïques en plastique.
    Aujourd'hui le rendement de conversion en électricité des meilleures cellules solaires en plastique atteint 8,5%. Certaines sociétés espèrent obtenir unrendement de 15% en 2015, ce qui permettrait une généralisation de l'utilisation de photovoltaïque plastique.
    Car les avantages du photovoltaïque en plastique sont nombreux. Il permet de créer :
    • des panneaux solaires souples (flexibles)
    • des films photovoltaïques transparents
    • des vitrages photovoltaïques transparents
    • du papier peint photovoltaïque recyclant l'éclairage artificiel
    Le coût de production des cellules solaires en plastique sera par ailleurs très faible, car il sera possible de le produire en masse en impression par rotatives.
    Les qualités du photovoltaïque plastique sont exceptionnelles et les enjeux sont tellement énormes que de grosses sociétés du monde entier s'activent à améliorer le rendement de ces cellules solaires de troisième génération.
    Avec le coût de plus en plus élevé des énergies fossiles et la popularité grandissante des énergies renouvelables, les recherches dans ce domaines redoublent et les découvertes scientifiques permettant l'amélioration du photovoltaïque en polymère se succèdent.
    A ce rythme, il est possible que le photovoltaïque plastique soit commercialisé plus tôt que prévu, et ça c'est bon pour la planète !